J’ai l’air de déserter l’univers incontestablement fascinant de la blogosphère ces derniers temps.
J’ai l’air.
Parce qu’en fait, je suis bien là. C’est juste que je ne suis pas ici, mais là bas.
Hé oui, parce que j’ai dû faire un choix.
Entre écrire pour publier ici et aller mettre mon Grain de sel ailleurs.
Comme écrire pour publier ici, c’est ce que je fais toujours, pour changer, j’ai été faire un tour du côté de chez Gaëlle Picut.
Moi , chez Gaëlle, je m’y sens bien. Il s’y dit des choses très intéressantes, enrichissantes. Qui font avancer le débat, qui font bouger les lignes.
Et moi aussi j’ai envie de faire bouger : toute seule, avec Gaëlle, et avec tous les autres. Voilà comment je marie mon amour de l’écriture à mon activité professionnelle (dont je n’ai encore rien dit ici, finalement… je m’en rends compte hein. Mais ça viendra, ça viendra…).
J’y étais déjà allée, chez Gaëlle : j’avais répondu à son interview sur la conciliation vie privée/vie pro (flash back par ici, mes chouchous).
M’y revoilà aujourd’hui, où, me prenant pour une Académicienne ou quelque chose dans le genre, j’ai proposé une entrée dans le Grand Dictionnaire de la Conciliation proposé par Gaëlle sur son Blog (oui, je mets des Majuscules partout tant l’entreprise est Grande et Honorable, rien que Ça).
J’ai choisi de proposer le mot « Indulgence ».
Pour ceux qui cherchent, ça sera à la lettre « I » de notre Roberta (c’est sans surprise, et en même temps, je trouve ça rassurant).
Enfin j’ai « choisi »…
Le mot s’est imposé à moi plutôt qu’autre chose.
J’ai testé sur le terrain. Pour vous.
Dans ma grande mansuétude, j’ai expérimenté dans le détail ce que c’est que d’avancer sans elle : l’indulgence.
Plutôt que de vous livrer ici tous les détails de mon analyse, je cours droit aux conclusions auxquelles elle m’a conduite : l’indulgence, si tu fais sans, c’est pas bon. Mais alors pas bon DU TOUT.
Voilà qui est radical et très efficace.
Non non. Ne cherchez pas, c’est le genre de chose dont je vous déconseille fortement de faire l’économie. Au bureau, à la maison, dans la file d’attente de la Poste, à la piscine.
Gardez-là toujours sous la main, bien au chaud. Et surtout : écoutez ce qu’elle vous dit.
Je vous explique tout chez Gaëlle, par ici. Alors allez-y et savourez tout le reste de son blog, qui ouvre les yeux, les portes, et l’esprit.
Et très bon week end à tous !
Je ne passe pas beaucoup de temps par ici en ce moment, mais vous me manquez. Et ça me manque.
Bref, je reviens lundi.