Aujourd’hui je voulais te donner de mes nouvelles : parce que je suis en plein auto sabotage, et que c’est… magique.
Ce moment, je l’avais espéré, si tu savais ! (Non je ne suis pas folle : lis la suite, tu verras)
Ce blog ne s’adresse pas aux adultes, mais aux enfants.
Mais je le maintiens « interdit aux moins de 16 ans » quand même, au cas où je voudrais faire des blagues cochonnes.
Mais tout de même, et contrairement aux apparences, je ne m’adresse pas aux adultes.
Je m’adresse aux enfants. Vous.
Quand je parle, quand j’écris, ce n’est pas aux adultes que j’ai envie de dire des choses… mais aux enfants.
Ceux que nous avons été.
Ceux qui dorment en nous et qui attendent qu’on leur donne enfin leur place. Read more…
Quand j’étais enfant, je rêvais d’avoir un piano.
Vers 4 ou 5 ans, je suis tombée raide dingue amoureuse de cet instrument. J’en voulais un, pouvoir le toucher tous les jours, et apprendre à en jouer. Comme ma copine Clarisse, qui savait jouer la Lettre à Élise (ce qui était marrant : parce que nous avions aussi une copine qui s’appelait Élise).
Mais un piano, ça coutait cher. Il n’y avait plus de place au conservatoire. Alors j’ai dû faire de la clarinette. Ça n’a pas duré longtemps. Read more…
Lorsque j’étais au lycée, en Première, nous avions eu une explication de texte à faire en cours d’espagnol. Je me souviens uniquement de l’héroïne de l’histoire : une jeune mère de famille d’une trentaine d’année. Je ne sais pas quel était son problème dans la vie (mais elle avait un problème dans la vie). En tout cas, elle cherchait un travail.
Dans mon commentaire, j’avais glissé cette observation : « Carmen cherche un travail dans lequel elle pourrait construire une vie épanouissante pour elle et sa famille ».
Au moment de nous rendre nos devoirs, la prof d’espagnol s’était longuement attardée sur cette copie dans laquelle « l’élève » avait écrit… Et de lire ma phrase à haute voix. Read more…
Il y a quelques semaines, j’ai décidé de partager avec vous ce que je trouve bon à savoir sur le changement de vie (cf.ici).
Les changements de vies, quels qu’ils soient.
J’aimerais dédramatiser tout ce que changer de vie peut avoir d’impressionnant, avant. Tout en ne minimisant pas ce que cela implique, pendant. Et après.
Pas pour vous dire ce qu’il faut faire, ni comment le faire. Juste pour vous dire que c’est possible de le faire. Et que le faire en ayant conscience de quelques détails, avant, ça peut aider, qui sait ?
Il existe un paramètre important, dans le changement de vie. Une composante que nous ne maitrisons pas et même, que nous n’envisageons pas toujours comme devant faire partie de ce que sera ce moment de bouleversement.
Ce quelque chose, ça s’appelle les Autres. Avec un grand « A ». Read more…
Il est 6h et tout le monde dort encore. Sauf moi.
C’est l’été, il fait déjà jour. J’attrape ma planche, ma pagaie. L’œil vague, la mèche de travers, un reste de bave séché au coin de la bouche. Charme matinal, me voilà. Read more…
Il y un sujet sur lequel j’ai envie d’écrire ici depuis longtemps : le changement de vie.
Testé pour vous par Marie Grain de Sel. Doublement.
J’ai changé de vie. J’ai réalisé mes rêves par lot de deux : partant loin de là où j’étais, et changeant de vie professionnelle.
Changé de ville, changé de métier. Changé de réalités de partout. Read more…
Voilà ce qui s’est passé.
La semaine dernière j’ai assisté à une conférence sur Internet. Son titre m’avait paru alléchant.
Ne bougez pas, vous allez comprendre tout de suite : « Une entrepreneuse qui augmente ses revenus et son énergie en moins de 3 mois? Oui c’est possible ! ». Read more…
Il y a quelques jours, j’étais chez l’esthéticienne pour une opération de déforestation de ma personne.
J’allais m’assoupir sur sa sublime serviette éponge marron chocolat triple épaisseur lorsqu’elle se mit à faire la conversation.
(Je pense que dans le cursus de formation des esthéticiennes -et des coiffeuses- il y a un cours sur comment faire la conversation pour empêcher les clientes de dormir. Il faudra que je vérifie…) Read more…
Lorsque nous étions enfants, avec mon frère, il nous arrivait de rêver à la vie de «grands». Nous nous imaginions adultes. Lorsque nous serions vieux comme nos parents : lorsque nous aurions 30 ans…
Pour nous, c’était le paradis, la grande vie. Tout était plus facile, plus simple. Nous serions les maîtres de nos vies. Limite : les maîtres du monde. Read more…