À chaque bout de ton amour, ta réussite s’ouvre davantage

Toi pour qui j’écris depuis près de cinq ans. Qui me lis depuis tout ce temps. Ou deux ans, ou six mois, ou deux secondes. Je pense souvent à toi, et à ce que j’ai envie de te raconter. Et je ne veux te raconter que du beau. Parce que je ne te veux que du bien. Tout le reste, je m’en tape.

Cœur avec les doigts.

Ce matin je me suis réveillée en n’ayant qu’une seule envie : te déposer là un trésor.
Un trésor c’est beau quand on l’a. C’est beau quand on sait où il est. Et surtout, c’est beau quand on peut y toucher, et s’en servir.
Par dessus tout : le trésor c’est vraiment mieux quand on le trouve. Même dans Pirates des Caraïbes ils trouvent le trésor : avoue que passer d’un coup, comme ça, du mythe à la réalité, ça nous en colle plein les mirettes. Je veux qu’on en ait plein les mirettes, toi et moi. Rien que ça, rien de moins.

Je préfère la réalité aux fantasmes. La vérité aux fausses croyances.
Alors je veux te dévoiler mon trésor.
Mon trésor, il est ma vérité. La seule vraie vérité que j’aie. Et je veux te le montrer. Pour qu’on le partage si tu le veux. Je n’ai pas peur que tu me le piques, au contraire : c’est le genre de trésor qui grossit si on le dévoile. Alors j’y vais tranquilou.

Pour réussir dans la vie, être heureuse (ou heureux), puissante (ou puissant), invincible, la seule vérité, pour moi, c’est : aime.

L’amour est un don avec lequel la terre nous accueille dans une très grande inégalité de départ. Et de grandes disparités, sur le chemin.
Certains l’ont dans les veines. Certains le reçoivent de partout, en très beau. D’autres n’en ont pas tant que ça. D’autres encore : pas du tout. On avance avec ou sans, toujours en le cherchant.

Certains sont très doués pour ça. D’autres pas tant que ça.
Pour tous, l’amour demande beaucoup d’efforts, une ténacité à toutes épreuves. Pour tout le monde, qu’on en soit riche ou très dépourvus, aimer est bien plus difficile que ne pas aimer.

Alors je te le dis sans fard : je te livre ici ce trésor mais si tu veux qu’il brille durablement, ça va te demander un sacré travail… Et je t’invite à ne jamais baisser ta garde. Ça ne sera jamais si facile que ça. Mais ça sera toujours le meilleur de tout.

Ça ne sera pas facile mais…
Je préfère fournir des milliers d’efforts pour le beau plutôt que de glisser facilement dans le laid (une fois j’ai glissé dans le lait, aussi, mais c’est parce que mon fils avait renversé sa tasse) (je fais aussi de l’humour fou de feu, c’est cadeau).

Ça ne sera jamais si facile que ça. Mais ça sera toujours le meilleur de tout.

Alors…

Aime plus fort que la colère.

Aime par dessus la bêtise.

Aime quand il pleut, aime sous le soleil.

Aime dans ton lit, et dans le sien aussi, tiens.

Aime chaque bout aimable de ce qui pue la haine.

Aime ce qui a oublié ce que c’était d’aimer.

Aime au quintuple lorsque tu doutes d’aimer encore.

Aime avec vigilance quand tu ne sais plus comment on fait, quand tu n’en es plus si sûre (ou sûr).

Aime davantage quand tu souffres.

Et laisse l’amour exploser quand tu te sens merveilleusement bien.

Observe chaque jour tout ce que tu aimes, et tous ceux que tu aimes : et souviens-toi à quel point tu aimes. Aimes l’abondance dans laquelle il ne tient qu’à toi d’aimer.

Commence par toi, c’est un conseil d’amie.
Commence par toi, continue par toi, finis par toi.

Aime ce que ça te fait quand tu aimes comme ça.

Aimes qui tu es quand tu l’es.

Et j’attire particulièrement ton attention sur un point : parce que moi qui me targue de n’être née que pour ça, aimer, j’ai toujours eu la fâcheuse tendance à m’aimer moins que tout le reste. Ne cherche pas par là, je peux te dire tout de suite ce que tu y trouveras : tout le contraire de l’amour. Si tu ne t’aimes pas davantage, tu ne pourras pas aimer tout court.

Si tu oublies de t’aimer avant tout, tu n’auras pas ce qu’il faut pour aimer. Et donc mon trésor ne te servira à rien puisque tout le principe c’est justement, que tu aimes plus que tout.

Commence par toi, c’est un conseil d’amie.
Commence par toi, continue par toi, finis par toi.

Parce que lorsque tu t’aimes tu te fais du bien. Lorsque tu te fais du bien, tu crées un équilibre pour toi, qui rejaillit partout autour. Lorsque tu crées ce positif, tu fais du bien au monde, au lieu de céder à tout ce qu’il te met en colère. À tout ce qu’il te débecte et t’effraye.

Tu n’as plus peur parce que quand tu sais que tu es cette personne que tu aimes plus que tout : tu es invincible.

C’est cette partie là, qui sera la plus difficile. Commence simple, léger, par petits morceaux. Mais lance-toi dans cette danse-là : qui te transportera, t’enivrera. Elle te portera loin, cette valse que tu conduis et où tu es Tout pour toi-même.

J’aimerais que tu essayes et que tu me racontes ce que ça te fait.
Moi j’ai tellement essayé que je l’ai carrément fait, de m’aimer. Même si j’ai des rechutes, je crois que je tiens le bon bout.

Et je n’ai plus si peur. Et je n’ai plus si mal. Et je fais plus facilement le bien que je veux faire : autour de moi.
Pardonne-toi toutes ces fois où tu ne t’aimais pas. Pardonne-toi à chaque fois que tu ne t’aimeras pas. C’est humain, et si tu t’aimes, tu te pardonneras. Surtout : tu as beaucoup à aimer, ne perds pas de temps à te manquer d’amour.

Tu voulais le secret pour tout réussir et vivre une vie de bonheurs et de succès ? Prends mon trésor, il sera plus brillant si nous le partageons.

Surtout, ne te retiens pas. Il n’y a pas de « trop » dans cette discipline. Ta seule limite, ce sont les autres : si tu t’aimes au point de les désaimer, rectifie le tir, c’est qu’il manque un truc. Mais tant que c’est bon pour eux, tant que tu brilles et que tu respectes, tu es dans les clous.

Fais cet exercice, pendant une journée, de te demander d’abord ce que tu veux pour toi. Ce que tu aimes, pour toi. Comment tu t’aimes. Et fais quelque chose, rien que pour t’aimer. Écris chaque jour une chose que tu aimes chez toi et savoure. C’est toi.

Aime-toi pour faire un pied de nez à tous ceux qui n’ont pas voulu te donner ça. Ou mal.

Aime-toi en hommage à tous ceux qui t’ont aimé, ne serait-ce qu’un petit peu : parce que tu le mérites, et qu’ils avaient raison.

Aime-toi parce que sans ça il te manquera toujours un peut trop de ce qui est essentiel.

Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi
Aime-toi

Et deviens le trésor.

Bisous !

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