Venez-donc me parler d’amour… [Dernières nouvelles de mon roman ]

J’écris soit avec la musique très très fort, soit dans le silence absolu.
Ça a toujours été comme ça.
C’est comme ça que j’ai rempli ce blog de billets.
C’est dans ces ambiances que j’ai écrit mon roman.

Mon roman… L’histoire de sa création est une playlist riche et colorée.
Je me souviens, j’ai eu une longue période Michael Jackson, puis une période piano, puis une période Québec, etc.
Un jour, par le hasard d’un algorithme bien ficelé, cette chanson me tombe dessus.
Elle est arrivée tard dans mon écriture.
Et j’avais tellement réécrit mon roman que son ancien titre ne collait plus.
Il m’en faudrait un nouveau, à un moment. Je m’étais gardé cette question-là pour plus tard.

Et puis Barbara.

Cette chanson m’est tombée dessus et m’a attrapée en pleine séance d’écriture.
J’ai tout arrêté et j’ai écouté.
La voix rêche, parfois cassée, souvent puissante de la légende. Et puis impossible de m’en débarrasser, c’était comme un signe.
Il était là : le titre qui collerait parfaitement à l’histoire que j’avais inventée.

Quelques mois plus tard, me voici avec « Je vous en prie, silence », mon premier roman.

Vous l’ai-je dit ? (oui)
Il sort bientôt.
Vous pourrez les lire bientôt.
Je suis impatiente.

Dans les prochains jours, j’ai tant de choses à vous dire concernant mon roman que les informations vont pleuvoir ici comme les pétales de roses qui volètent dans la brise de mon jardin (poésie).
Je vous demande juste un tout petit poil (dans la main) de patience.
Rien de trop, vous verrez.

Ce titre vous a inspirés la semaine dernière, sur les réseaux sociaux.
J’ai bien aimé.
J’ai même ri. J’aime bien quand vous êtes créatifs comme ça, bande de fous.

J’ai décidé de reprendre une sélection de vos meilleures suggestions… Et de m’en servir pour vous donner quelques indices sur l’histoire que raconte mon roman, en attendant de vous dire TOUT TOUT TOUT.

Prêts.es ?
Allons-y :

Vous avez imaginé :
« Ça se passe pendant un procès, dans une salle de tribunal » : elle aurait pu, mais mon personnage principal, Jeanne n’ira pas jusque là. Elle fera d’autres choix. Mieux ? Pires ? Vous verrez 😉

« C’est l’histoire d’un Instit, d’une prof qui est à bout » : pas du tout 😉 Mais il y a une prof dans mon histoire : Murielle, la maman du personnage principal.

« C’est l’histoire d’une mère épuisée » : point du tout d’épuisement maternel dans mon roman. Et vous verrez, c’est tant mieux : Jeanne a déjà du pain sur la planche, il ne manquerait plus que ses enfants l’épuisent…

« C’est une histoire d’un couple de personnes sourdes et muettes » : haaaa… Si c’est une métaphore alors… peut-être 😉

« L’histoire se passe dans un couvent/une abbaye » ou « dans une bibliothèque » : hé bien je vous rassure, aucune abbaye ni aucune bibliothèque n’ont été maltraitées pour le bien de ce roman 😉

« C’est l’histoire de quelqu’un qui a besoin d’une pause, d’intimité, pour se retrouver » : alors oui, complètement. Mais ce n’est pas l’intrigue : c’est sans doute l’un des effets secondaires de ce qui se passe au cour de l’histoire de Jeanne.

« C’est l’histoire d’un assassin du genre Hannibal Lecter, et ‘Je vous en prie silence’ est ce qu’il dit lorsqu’il s’attaque à ses victimes » : que dire face à tant de perspicacité ? J’ai beaucoup aimé. La personne qui l’a suggérée, celle-là, a toujours brillé par son sens inouï de l’imagination, je l’aime bien.
Hélas, il n’y a aucun assassin dans mon roman (sauf si on le prend métaphoriquement, encore une fois. Alors là oui peut-être… faut voir. Vous me direz, en temps voulu).

« C’est l’histoire d’une femme très bavarde qui tombe amoureuse » : alors non, pas du tout. Car mon roman n’est absolument pas autobiographique.

« C’est l’histoire d’une femme qui s’appelle Faustine et qui décide de quitter son mari, prénommé Albert. Pour avoir enfin la paix. » : c’est tout l’inverse, mes petits bouchons. Mais en pire.

Ce sera tout pour aujourd’hui.
Merci de partager mon enthousiasme, merci de vous amuser avec moi. Merci tout court, parce que vous êtes de super lecteurs.rices.
Je le pense depuis longtemps, mais je ne vous le dis pas assez.

Je vous retrouve ces prochains jours ici et sur les réseaux sociaux, pour enfin vous donner les pièces manquantes au puzzle 😉

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